En proie à une grande crise existentielle avant d'arriver à Roland Garros, Gilles Simon ne pouvait rêver mieux que d'une victoire en cinq sets pour débuter, «à la bagarre». Mais s'il était satisfait de l'heureux dénouement, le Niçois estime qu'il y a encore du travail avant de crier vraiment victoire sur cette période noire.
lundi, mai 25
Tennis - Roland Garros - «Cela fait du bien !»
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